La société postindustrielle a besoin d’une force spirituelle qui donne un sens à notre existence, du courage, des repères, inspire l’optimisme, favorise la créativité. La naissance de la religion postindustrielle et de l’organisation spirituelle de la nouvelle ère n’est qu’une question de temps.
La religion («re-lier», c’est-à-dire «renouveler le lien»), c’est la théorie et la pratique de la restauration du lien entre la conscience terrestre et la conscience divine de l'homme.
D'une part, c’est le perfectionnement individuel et collectif menant à la transformation de l'homme en Dieu-homme (« Боголюдина»).
D'autre part, c’est la voie de l’évolution consciente, et donc accélérée : la religion sert de locomotive évolutive.
Si l'enseignement ne vise pas à rétablir le lien entre l'humain et le divin, ce n’est pas une religion. Pour de tels systèmes, le terme approprié est « doctrine de la foi » ou « pseudo-religion ».
Critères d’efficacité de la religion
Le critère de la véracité de la religion est son efficacité. Elle se définit par le niveau du développement de la communauté qui pratique cette religion. Les critères quantitatifs les plus simples du développement de la communauté religieuse est la croissance de son « Indice du bonheur brut» et de l’« Index national du développement humain » (prend en compte le revenu par habitant, l'éducation, la santé, la natalité).
Plus les indices de développement sont élevés, meilleure est la religion. La communauté qui pratique une religion avancée, évolue rapidement, et, en un temps historiquement court, se retrouve au sommet de l'évolution. Ainsi, l'État formé par une telle communauté acquiert, pour une période assez longue, la plus grande autorité et la plus forte influence au monde, et sa culture devient la plus féconde et la plus attrayante.
Actualité
Une religion efficace est toujours d’actualité, elle est en phase avec le temps, et ouvre de nouveaux horizons. D'une part, une religion avancée s’appuie sur les connaissances et les principes éprouvés depuis des millénaires. D'autre part, l’existence d’un fondement historique sûr permet de créer aisément du nouveau dans tous les domaines de la vie - de la philosophie et de l'art à l'organisation sociale et aux technologies.
La vraie religion est donc toujours liée à la situation courante et aux tendances du développement. Conformément, la religion de l'ère postindustrielle réagit sensiblement aux caractéristiques telles que la mondialisation (interdépendance des processus mondiaux), l'accessibilité des télécommunications et des ordinateurs personnels, les réseaux sociaux massifs, l’autonomie énergétique de l’habitat, les mini-productions robotisées, le multilinguisme, la personnalisation des services et autres.
Universalité et localisation
L'unité évolutive de l'humanité est le demos, c’est pourquoi la religion ne peut se réaliser pleinement que dans les demos (communautés comptant jusqu'à 150 personnes se connaissant personnellement). Comme chaque demos a ses particularités, sa pratique de la religion peut aussi avoir ses propres caractéristiques et sa couleur.
Cependant, existe un système d’idées et d’organisation fondamental et universel permettant à toute cette diversité de demos de se comprendre, de soutenir leur unité métaphysique et organisationnelle, de réaliser leur entraide et le renforcement mutuel de leur synergie.
Religion des gens nobles
Puisque la religion est la voie vers l'amélioration individuelle et collective, la religiosité est le signe des gens nobles. Dans la langue ancienne, et notamment en sanskrit, les gens nobles s’appelaient «ар’я» (« Aria », « Aryens ») - de la racine * ar- * ra - solaire, divin.
Au début de l’ère nouvelle, le terme utilisé «arianisme» désignait le christianisme initial – l’ario-christianisme, ou l’helléno-christianisme (« хрестиянство », « аріохрестиянство », « гелленохрестиянство »).
Les termes «хрестиянство» (christianisme, de «хрестос» – parfait, bon, beau, exemplaire, saint) et « аріянство» (arianisme - noblesse, générosité, soleil, viabilité, spiritualité, sainteté) sont, en fait, synonymes.
Religieux - donc instruits
La véritable religion est toujours un système pragmatique, orienté vers le développement et le renforcement de la viabilité de ses pratiquants. « Le but de la religion était une recherche continue de ressources en tant que garanties supplémentaires de survie pour la lignée. La religion originelle – ce sont toutes les technologies humaines non apparentes d’alors « en un flacon ». Plus tard, de ce « flacon » l’humanité tirera la science, l'artisanat, l'art, l'économie et la politique - et ces technologies deviendront responsables des résultats pratiques dans leurs domaines » (Oleksander Rozov).
Pour être efficace, une religion est basée sur la connaissance. En fait, la religion – c’est la plus haute connaissance.Voilà pourquoi la religion arienne originelle était désignée par le terme «Віди», c’est-à-dire « compétence » (« відання »), « connaissance » (« знання»).
Selon l’arianisme, la religiosité de l’homme (son niveau de développement religieux) se détermine non par l’exécution de rituels, de prières et de façons de se nourrir, mais parla capacité de créer des évènements positifs - internes et externes.
Les événements internes sont la santé, la vigueur, les capacités intellectuelles et créatives, la maîtrise des connaissances et des technologies.
Les événements extérieurs - un entourage harmonieux, la propreté et la beauté de l'environnement, de bonnes entreprises pour sa communauté et l'Etat tout entier.
Plus la capacité de l’homme à atteindre des objectifs socialement utiles est grande, plus grande est sa religiosité.
L’école arienne la plus célèbre et la plus ancienne était celle d’Antioche : « La caractéristique particulière de la pensée philosophique et théologique des représentants de l’école d’Antioche étaient le réalisme et le rationalisme - bien entendu dans le contexte théologique. L’aspiration des Antiochiens à la clarté, et leur haute appréciation des capacités humaines à la connaissance, les amenaient à effacer la frontière entre la religion et la science, entre la foi et la connaissance, à identifier le sentiment religieux avec le bon sens. Dans leur école du bon sens, s’ouvrait un large espace de liberté. Dans le domaine de la vision religieuse du monde, et des dogmes de l’église, les Antiochiens, par le bon sens, aspiraient à atteindre la même clarté que dans l'étude du monde matériel » (cf. Антиохійський аріянський центр).
La base scientifique de l’arianisme était la philosophie du dynamisme: « C’était une communauté d'enseignants religieux qui plaçaient les intérêts de la science au-dessus des intérêts de la religion. Ils étaient tous célèbres pour leur grande érudition, ils étudiaient soigneusement les sciences laïques, et ne cachaient pas leur amour pour ces dernières. « Ils sont profondément impliqués dans la géométrie euclidienne, fascinés par Aristote et Théophraste, et vénéraient presque Claude Galien » ... Les Dynamistes reconnaissaient un seul critère obligatoire – celui de leur propre conviction, basée sur des bases rationnelles. Ils ont introduit une profonde critique dans l'interprétation des Écritures saintes qu’ils étudiaient attentivement. Ils ont été les premiers à avoir étudié scientifiquement les textes canoniques des Écritures et, les ayant trouvés décevants, ont exigé des corrections. «Ils ont mis la main – rapporte avec horreur un auteur anonyme – sur les Écritures saintes : il est indispensable, disent-ils, de les corriger ». Ce sont eux les premiers qui se sont attelés à ce travail, ont vérifié de manière critique, puis composé les textes des Écritures qui avaient une grande popularité. En revanche, ils avaient du dédain et réagissaient de manière assez vive quant à la transmission (judéo-chrétienne – I.K.) des œuvres de l’église et de celles des écrivains ecclésiastiques (Спасский А.А. История догматических движений в эпоху вселенских соборов. Т.1. Тринитарный вопрос. – Сергиев Посад, 1906).
La religion arienne des connaissances a donné au monde tout une pléiade de brillants savants et de saints, parmi lesquels des personnalités aussi célèbres que saint Irénée de Lyon, le patriarche d’Antioche Paul de Samosate, saint Lucien d’Antioche, l’archevêque de Constantinople Eusèbe de Nicomédie (qui baptisa dans l'arianisme l’empereur Constantin le Grand et consacra archevêque des Goths Wulfila), le patriarche de Constantinople saint Ivan Zolotooustyi (Jean Chrysostome – particulièrement respecté en Ukraine), les évêques : saint Diodore de Tarse, saint Théodore de Mopsueste, bienheureux Théodoret de Cyr, Léonce d’Antioche, saint Cyrille de Jérusalem, Théognis de Nicée… (« Динамізм – філософський фундамент аріохрестиянства »).
L’assimilation de l'arianisme, dans l’Ukraine de cette époque, conduisit à l’explosion surpuissante « passionarienne » de nos ancêtres – Gètes, Goths, Huns, Vénèdes, Vandales, puis les amena à maîtriser l'Europe et l'Afrique du Nord, et à jeter les bases de la culture européenne contemporaine.
Ce qui différencie les personnes religieuses de celles qui ne le sont pas
Ainsi, la religion - c’est la science, les technologies, l’art. Question: qu’est-ce qui différencie scientifiques, organisateurs, politiques, inventeurs, artistes, professionnels de leurs collègues irréligieux ?
La différence est que la personne religieuse est toujours consciente de son but religieux – l’ascension de l'homme et de la société vers l’état Divin-humain. La personne religieuse non seulement y pense et en parle, mais aussi réalise dans la pratique ses idéaux spirituels.
Une orientation constante vers la réalisation du but religieux conduit à voir la vie de manière holistique, à s’élever dans l'espace des évènements positifs, et, en conséquence, à acquérir un potentiel de création positive plus puissant - pour le bien de la société et de l'Univers.
Avantages de l’arianisme moderne
La société postindustrielle a besoin d’une force spirituelle qui donne un sens à notre existence, confère des repères, inspire l'optimisme, encourage, et favorise la créativité. La naissance de la religion postindustrielle et de l’organisation spirituelle de l’ère nouvelle n’est qu’une question de temps.
Quelle sera la nouvelle église ? Qu'aura-t-elle d’attrayant ?
Les embryons du futur existent déjà. C’est pourquoi, en les regardant, on aperçoit quelques traits caractéristiques de l'arianisme postindustriel.
1. L’existence d'une vision holistique du monde, dont les composants sont la métaphysique, l'histoire ancienne et contemporaine, un mode de vie sain, une bonne nutrition, un environnement propre etc.
2. L'union de la théorie et de la pratique, notamment celle de la science, des technologies, de l'art, de la beauté, l’attitude positive et responsable envers la vie.
3. L'ouverture à l'innovation, d’où faisabilité, pertinence et nouveauté.
4. La possibilité de garantir la bonne santé et le bonheur, notamment la technologie permettant la guérison des maladies chroniques et l’élévation dans l'espace des évènements positifs.
5. L’activité sociale et la construction de l’État, sa discrétion, la pensée écologique, l'accent sur l'amélioration de l'homme et la création d’une meilleure civilisation.
Les dernières orientations de l’arianisme sont:
l’étude des effets de « Живе Слово » (technologie curative « Jyvè Slovo » -
« Parole vivante » - Z.W.) sur l'électronique,
l’affinement de la langue ukrainienne (projet Sensar),
la programmation du réseau social spécialisé dans la transition des nations de
de leur forme dictatoriale de gouvernement vers les républiques,
la formation de l’Etat Libre Ukrainien et de la civilisation Mijmoria.
Метою «церкви програмістів» Aryan Softwerk є колективне досягнення Царства божого шляхом розробки софту для самоорганізації шляхетних духовних демосів – арійських церков. Розробка церковного софту –...
Religion postindustrielle des connaissances
Світ:
Спецтема:
La société postindustrielle a besoin d’une force spirituelle qui donne un sens à notre existence, du courage, des repères, inspire l’optimisme, favorise la créativité. La naissance de la religion postindustrielle et de l’organisation spirituelle de la nouvelle ère n’est qu’une question de temps.
Table des matières
Accélération de l’évolution : la voie
La religion («re-lier», c’est-à-dire «renouveler le lien»), c’est la théorie et la pratique de la restauration du lien entre la conscience terrestre et la conscience divine de l'homme.
D'une part, c’est le perfectionnement individuel et collectif menant à la transformation de l'homme en Dieu-homme (« Боголюдина»).
D'autre part, c’est la voie de l’évolution consciente, et donc accélérée : la religion sert de locomotive évolutive.
Si l'enseignement ne vise pas à rétablir le lien entre l'humain et le divin, ce n’est pas une religion. Pour de tels systèmes, le terme approprié est « doctrine de la foi » ou « pseudo-religion ».
Le critère de la véracité de la religion est son efficacité. Elle se définit par le niveau du développement de la communauté qui pratique cette religion. Les critères quantitatifs les plus simples du développement de la communauté religieuse est la croissance de son « Indice du bonheur brut» et de l’« Index national du développement humain » (prend en compte le revenu par habitant, l'éducation, la santé, la natalité).
Plus les indices de développement sont élevés, meilleure est la religion. La communauté qui pratique une religion avancée, évolue rapidement, et, en un temps historiquement court, se retrouve au sommet de l'évolution. Ainsi, l'État formé par une telle communauté acquiert, pour une période assez longue, la plus grande autorité et la plus forte influence au monde, et sa culture devient la plus féconde et la plus attrayante.
Actualité
Une religion efficace est toujours d’actualité, elle est en phase avec le temps, et ouvre de nouveaux horizons. D'une part, une religion avancée s’appuie sur les connaissances et les principes éprouvés depuis des millénaires. D'autre part, l’existence d’un fondement historique sûr permet de créer aisément du nouveau dans tous les domaines de la vie - de la philosophie et de l'art à l'organisation sociale et aux technologies.
La vraie religion est donc toujours liée à la situation courante et aux tendances du développement. Conformément, la religion de l'ère postindustrielle réagit sensiblement aux caractéristiques telles que la mondialisation (interdépendance des processus mondiaux), l'accessibilité des télécommunications et des ordinateurs personnels, les réseaux sociaux massifs, l’autonomie énergétique de l’habitat, les mini-productions robotisées, le multilinguisme, la personnalisation des services et autres.
Universalité et localisation
L'unité évolutive de l'humanité est le demos, c’est pourquoi la religion ne peut se réaliser pleinement que dans les demos (communautés comptant jusqu'à 150 personnes se connaissant personnellement). Comme chaque demos a ses particularités, sa pratique de la religion peut aussi avoir ses propres caractéristiques et sa couleur.
Cependant, existe un système d’idées et d’organisation fondamental et universel permettant à toute cette diversité de demos de se comprendre, de soutenir leur unité métaphysique et organisationnelle, de réaliser leur entraide et le renforcement mutuel de leur synergie.
Puisque la religion est la voie vers l'amélioration individuelle et collective, la religiosité est le signe des gens nobles. Dans la langue ancienne, et notamment en sanskrit, les gens nobles s’appelaient «ар’я» (« Aria », « Aryens ») - de la racine * ar- * ra - solaire, divin.
Au début de l’ère nouvelle, le terme utilisé «arianisme» désignait le christianisme initial – l’ario-christianisme, ou l’helléno-christianisme (« хрестиянство », « аріохрестиянство », « гелленохрестиянство »).
Les termes «хрестиянство» (christianisme, de «хрестос» – parfait, bon, beau, exemplaire, saint) et « аріянство» (arianisme - noblesse, générosité, soleil, viabilité, spiritualité, sainteté) sont, en fait, synonymes.
Religieux - donc instruits
La véritable religion est toujours un système pragmatique, orienté vers le développement et le renforcement de la viabilité de ses pratiquants. « Le but de la religion était une recherche continue de ressources en tant que garanties supplémentaires de survie pour la lignée. La religion originelle – ce sont toutes les technologies humaines non apparentes d’alors « en un flacon ». Plus tard, de ce « flacon » l’humanité tirera la science, l'artisanat, l'art, l'économie et la politique - et ces technologies deviendront responsables des résultats pratiques dans leurs domaines » (Oleksander Rozov).
Pour être efficace, une religion est basée sur la connaissance. En fait, la religion – c’est la plus haute connaissance. Voilà pourquoi la religion arienne originelle était désignée par le terme «Віди», c’est-à-dire « compétence » (« відання »), « connaissance » (« знання»).
Selon l’arianisme, la religiosité de l’homme (son niveau de développement religieux) se détermine non par l’exécution de rituels, de prières et de façons de se nourrir, mais par la capacité de créer des évènements positifs - internes et externes.
Les événements internes sont la santé, la vigueur, les capacités intellectuelles et créatives, la maîtrise des connaissances et des technologies.
Les événements extérieurs - un entourage harmonieux, la propreté et la beauté de l'environnement, de bonnes entreprises pour sa communauté et l'Etat tout entier.
Plus la capacité de l’homme à atteindre des objectifs socialement utiles est grande, plus grande est sa religiosité.
L’école arienne la plus célèbre et la plus ancienne était celle d’Antioche : « La caractéristique particulière de la pensée philosophique et théologique des représentants de l’école d’Antioche étaient le réalisme et le rationalisme - bien entendu dans le contexte théologique. L’aspiration des Antiochiens à la clarté, et leur haute appréciation des capacités humaines à la connaissance, les amenaient à effacer la frontière entre la religion et la science, entre la foi et la connaissance, à identifier le sentiment religieux avec le bon sens. Dans leur école du bon sens, s’ouvrait un large espace de liberté. Dans le domaine de la vision religieuse du monde, et des dogmes de l’église, les Antiochiens, par le bon sens, aspiraient à atteindre la même clarté que dans l'étude du monde matériel » (cf. Антиохійський аріянський центр).
La base scientifique de l’arianisme était la philosophie du dynamisme: « C’était une communauté d'enseignants religieux qui plaçaient les intérêts de la science au-dessus des intérêts de la religion. Ils étaient tous célèbres pour leur grande érudition, ils étudiaient soigneusement les sciences laïques, et ne cachaient pas leur amour pour ces dernières. « Ils sont profondément impliqués dans la géométrie euclidienne, fascinés par Aristote et Théophraste, et vénéraient presque Claude Galien » ... Les Dynamistes reconnaissaient un seul critère obligatoire – celui de leur propre conviction, basée sur des bases rationnelles. Ils ont introduit une profonde critique dans l'interprétation des Écritures saintes qu’ils étudiaient attentivement. Ils ont été les premiers à avoir étudié scientifiquement les textes canoniques des Écritures et, les ayant trouvés décevants, ont exigé des corrections. «Ils ont mis la main – rapporte avec horreur un auteur anonyme – sur les Écritures saintes : il est indispensable, disent-ils, de les corriger ». Ce sont eux les premiers qui se sont attelés à ce travail, ont vérifié de manière critique, puis composé les textes des Écritures qui avaient une grande popularité. En revanche, ils avaient du dédain et réagissaient de manière assez vive quant à la transmission (judéo-chrétienne – I.K.) des œuvres de l’église et de celles des écrivains ecclésiastiques (Спасский А.А. История догматических движений в эпоху вселенских соборов. Т.1. Тринитарный вопрос. – Сергиев Посад, 1906).
La religion arienne des connaissances a donné au monde tout une pléiade de brillants savants et de saints, parmi lesquels des personnalités aussi célèbres que saint Irénée de Lyon, le patriarche d’Antioche Paul de Samosate, saint Lucien d’Antioche, l’archevêque de Constantinople Eusèbe de Nicomédie (qui baptisa dans l'arianisme l’empereur Constantin le Grand et consacra archevêque des Goths Wulfila), le patriarche de Constantinople saint Ivan Zolotooustyi (Jean Chrysostome – particulièrement respecté en Ukraine), les évêques : saint Diodore de Tarse, saint Théodore de Mopsueste, bienheureux Théodoret de Cyr, Léonce d’Antioche, saint Cyrille de Jérusalem, Théognis de Nicée… (« Динамізм – філософський фундамент аріохрестиянства »).
L’assimilation de l'arianisme, dans l’Ukraine de cette époque, conduisit à l’explosion surpuissante « passionarienne » de nos ancêtres – Gètes, Goths, Huns, Vénèdes, Vandales, puis les amena à maîtriser l'Europe et l'Afrique du Nord, et à jeter les bases de la culture européenne contemporaine.
La différence est que la personne religieuse est toujours consciente de son but religieux – l’ascension de l'homme et de la société vers l’état Divin-humain. La personne religieuse non seulement y pense et en parle, mais aussi réalise dans la pratique ses idéaux spirituels.
Une orientation constante vers la réalisation du but religieux conduit à voir la vie de manière holistique, à s’élever dans l'espace des évènements positifs, et, en conséquence, à acquérir un potentiel de création positive plus puissant - pour le bien de la société et de l'Univers.
Avantages de l’arianisme moderne
La société postindustrielle a besoin d’une force spirituelle qui donne un sens à notre existence, confère des repères, inspire l'optimisme, encourage, et favorise la créativité. La naissance de la religion postindustrielle et de l’organisation spirituelle de l’ère nouvelle n’est qu’une question de temps.
Quelle sera la nouvelle église ? Qu'aura-t-elle d’attrayant ?
Les embryons du futur existent déjà. C’est pourquoi, en les regardant, on aperçoit quelques traits caractéristiques de l'arianisme postindustriel.
1. L’existence d'une vision holistique du monde, dont les composants sont la métaphysique, l'histoire ancienne et contemporaine, un mode de vie sain, une bonne nutrition, un environnement propre etc.
2. L'union de la théorie et de la pratique, notamment celle de la science, des technologies, de l'art, de la beauté, l’attitude positive et responsable envers la vie.
3. L'ouverture à l'innovation, d’où faisabilité, pertinence et nouveauté.
4. La possibilité de garantir la bonne santé et le bonheur, notamment la technologie permettant la guérison des maladies chroniques et l’élévation dans l'espace des évènements positifs.
5. L’activité sociale et la construction de l’État, sa discrétion, la pensée écologique, l'accent sur l'amélioration de l'homme et la création d’une meilleure civilisation.
Les dernières orientations de l’arianisme sont:
« Parole vivante » - Z.W.) sur l'électronique,
de leur forme dictatoriale de gouvernement vers les républiques,
(traduction de l’ukrainien : Zirka Witochynska)
Lire aussi :
Arianisme et paganisme
Société post-industrielle ou Quel Etat nous construisons
Communauté de l'Etat postindustriel et ses ennemis
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